Les rues de la capitale congolaise ressemblent aujourd’hui à une décharge publique où des collines d’immondices rivalisent avec des nappes d’eaux stagnantes. Les habitants de cette ville vivent l’insalubrité indescriptible dont la visite de la décharge finale donne de la gestion archaïque de 5000 tonnes d’immondices qui provoquent des maladies endémiques telles que le paludisme, la fièvre typhoïde, la dysenterie.
Toutes ces maladies sont devenues des cantiques des diagnostics médico à Kinshasa. A cet effet la question sur l’insalubrité demeure une actualité brulante dans la ville jadis appelé Kin labelle, cette appellation est loin de reflété la réalité a ce jour dans le langage des Kinois en lieu et place de Kin la poubelle.
Les problèmes de logement, au sens le plus large du terme, sont étroitement liés à l’exclusion. Les populations les plus démunies n’ont accès qu’à un parc de logement très dégradés inadaptés à la taille des familles et dont l’insalubrité à une interdiction d’habiter. Les conséquences sur la santé de ces populations sont multiples qui peuvent s’avérer grave et chez les jeunes enfants, présenter parmi elles on peut citez : l’intoxication par le plomb, ou saturnisme chez l’enfant, due essentiellement à la présence de plomb dans les peintures des logements anciens.
La dégradation des peintures entraine la dissémination du plomb dans l’environnement. Les effets néfastes du plomb même à très faible doses (altération du développement psychomoteur de l’enfant) et le diagnostic des cas partout où ils ont été recherchés auprès des populations à risque, ont conduit l’état à impulser une politique d’action contre ce fléau en encouragent notamment des programmes de dépistage.
Ça schilingue sur les ruelles du marché Matadi kibala. Les pavillons bâtit à hangars sont quadrillés par la saleté et les caniveaux bouchés par les débrilles jeté par les marchands. L’insalubrité devient un fatal fléau pour la société Kinoise. Le marché lieu où l’on devrait veiller sur la salubrité est abandonné à leur propre sort et c’est souvent sous une sérieuse politique de gestion des déchets.
Le marché Matadi kibala comme la majorité des marchés à Kinshasa souffrent de la même épidémie disposée dans un coin que l’on connait plutôt favorable pour la gestion des déchets, ce marché ne dispose pas des poubelles. Seule source d’approvisionnement en denrées alimentaire de la contrée, le marché ne dispose pas d’espace suffisant pour tous les marchands, en voyant donc les autres talent leurs produits au sol. Parfois, ces produit ne sont pas de moindre, des produits alimentaires comme les poissons, des tomates, piments et autres sommes non seulement exposé au soleil mais aussi aux gaz que dégage les déchets exposés sur le sol. A cela la population de cette contrée trouve inhumain de vivre dans l’insalubrité qui provoque des maladies infectieuses qui font plus des victimes.
